Courrier de l’Escaut du jeudi 14 octobre 2004

Vous tenez vous-même ce rôle unique dans une sorte de one woman show.

  • Oui, "Pénélope", c’est aussi du visuel. Sans paroles, le spectacle met en scène, grâce à Martine Scutenaire, une ménagère prise avec les images de la femme véhiculées par les médias. J’y exprime le malaise du corps dans un huis clos, puisque le public est invité, presque en voyeur, à suivre une journée de mon personnage chez elle. Il y découvre ses fantasmes, sa façon de compenser l’absence de l’homme qu’elle attend, ses contradictions entre boulimie et régime amaigrissant. L’ambiance est rythmée par un décor de pubs, de fragments musicaux (...).

La Gauche, n°11, mars 2005

Un one woman show de la compagnie Croquemitaine, une pièce au vitriol sur l’oppression des femmes.

(...) Un one woman show décapant mené tambour battant et avec énergie par l’actrice Carole Dupriez (...)

Le Nord Eclair, du dimanche 13 novembre 2005

(...) Carole Dupriez, comédienne au Théâtre Croquemitaine, a subjugué son auditoire à la ferme de L’Ancienne Cure à Evregnies, dans un one woman show époustouflant de talent : son spectacle incite de manière humoristique et parfois caustique, à une réflexion profonde sur la société, le culte de l’image et la difficulté de partir en quête de sa propre identité. Pour ce faire, notre comédienne fait appel à la pantomime et au clown pour placer le public en voyeur face à une tranche de vie de Pénélope. (...)